Lettre au Prince Electeur 12 juillet 1756 Bataille de Zcilebourg

Monseigneur,

En ce jour saint du 12 juillet 1756 nos vaillantes troupes coalisés commandées par votre serviteur Le Prince Adamovitch ont combattu une armée Prussienne innombrable.
Le temps fut gris, pluvieux et cela à n’était pas a notre avantage !
Nous disposâmes une Brigade d’infanterie Autrichienne sur le flanc droit supporté par la Brigade de Cuirassiers et de Gardes du Corps du Lichtenbourg.
Le centre était composé des Grenadiers du Lichtenbourg, du Bataillon Princesse Amélie et de L’artillerie lourde commandée par le général Fuerstein.
Le Flanc gauche se composait d’une Brigade d’infanterie Autrichienne et des Dragons Autrichiens.
Les Prussiens avaient disposé de l’infanterie sur tout le front et sur notre flanc gauche leur innombrable artillerie lourde soutenu par des Grenadiers.
En deuxième ligne sur ce flanc ils avaient disposé toute leur Cavalerie.

Aux premières heures de la Bataille les deux armées avancèrent l’une vers l’autre.
Voyant la cavalerie ennemie se rapprocher de notre flanc gauche je dépêchais la Brigade de Cuirassiers pour soutenir nos Dragons.

Pendant que L’infanterie échangeait des tirs de Mousqueterie nos Dragons furent charges par les Dragons Prussiens et repoussés derrière nos lignes, le terrain trop lourd empêchât nos Dragons de charger.
L’infanterie Prussienne tentât de faire reculer nos fusiliers mais n’y parviendra pas.
Les Cuirassiers Prussiens chargèrent nos Dragons qui durent quitter le champ de Bataille.
Alors que sur tout le front la ligne Prussienne reculait face à nos Fusiliers et Grenadiers, nos vaillantes troupes du flanc gauche durent faire face aux tirs meurtriers de l’artillerie et des grenadiers ennemis et suite à de lourdes pertes durent fuir.

Nos Gardes du corps parvinrent à chasser une partie de la cavalerie ennemie mais le soleil se couchât et nous avons du quitter le champs de bataille.

Monseigneur nos troupes se sont vaillamment battues mais ayant perdu la moitié de leurs effectifs elle n’ont pu contenir l’ennemi.

Je vous prie d’accepter mes sincères salutations,


Votre dévoué,
Frederic Adamovitch

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Sire,

this day July 12th 1857 our valiant allied troops commanded by your most trusted Prince Adamovitch has given battle to a numerous Prussian Army.
The sky was grey and it rained during the battle that was not to our advantage.

We deployed in a conventional manner on our right flank an Austrian infantry Brigade supported by a Brigade of Cuirassiers and the Gardes du Corps du Lichtenbourg. The centre consisted of our Lichtenbourg grenadiers and the heavy artillery. On the left I deployed another Austrian Brigade and the Austrian Dragoon Brigade.

The Prussians had covered the whole front with infantry, and in front of our left they had deployed their heavy artillery and their Grenadiers supported by two Brigades of Cavalry.

During the first hours of battle both lines approached, seeing the Prussian cavalry advance towards our Dragoons I immediately dispatched our heavy cavalry brigade towards our left flank.

While the infantry lines were exchanging musket fire, our Dragoons were charged by the Prussian Dragoons and they recoiled behind our lines, the mud made it impossible for our cavalry to charge.
The Prussian infantry tried to push back our line but they did not succeed.

The Prussian cuirassiers then charged our Dragoons who unfortunatly had to leave the battlefield.

At that moment the Prussian line started to waiver alas our left flank broke under the strain of the enemy artillery and Grenadiers fire.

Our Gardes du Corps managed to repulse part of the enemy cavalry but it was getting late and the sun was setting behind the horizon.

Our army having lost more than half their original strength had to leave the battle field.

Sincerely yours,
Frederic Adamovitch