Régiment Princesse Laurence Bleu
Régiment princesse Amélie Rouge
Régiment Prince Nicolas Jaune
photo 4
photo 3
Photo 2
Photo 1
jeudi 1 mai 2008
1756 /1763
Historique militaire des régiments du Liechtenbourg depuis leurs créations
D’abord un petit cours de linguistique, de géographie et d’histoire.
Comme certains on pu le constater, le Liechtenbourg est toujours écrit en français "bourg" et non en allemand "burg" ou en Syldave "brod" car, comme chacun le sait, la famille régnante du Liechtenbourg est d’origine bourguignonne.
C'est vers 1302 que le Baron van Stalle van het Steekenen lez Hombeek,Vicomte du Bois d'Ombrelle Grand Chambellan auprès des ducs de Bourgogne reçoit en dot, de par son mariage d’avec la Duchesse de Lech (Autriche), les terres situées au Nord-Est de l’Autriche, entre la Hongrie, la Galicie, la Pologne et la Silésie.
Le Liechtenbourg a une superficie de 10.543 Km² et une population actuellement de 183.287 habitants
Le nom de la contrée à l’époque 13 em siècle est Lyéchtinbrod qui comme chacun sait veut dire en Syldave "pays ou ville des hommes libres".
Comme la langue Syldave tombait en désuétude le nom fut francisé en Liechtenbourg. Ce nom fût utilisé dès la première assemblée ou diète en 1309 (à suivre) ?
En ce qui concerne l’historique des régiments du Liechtenbourg voici un court résumé fera plaisir à tous ceux qui partagent notre passion.
Commençons par le plus prestigieux les gardes du corps à cheval (Photo 1)
Créé en 1683 (et ayant comme base historique la gendarmerie princière qui fit toutes les guerres de religions, ainsi que la guerre contre la Sublime Porte), il est composé de 6 escadrons de 100 hommes sachant lire et écrire et ayant une taille minimum de 5 pieds soit 1,75 cm.
Ayant une excellente moralité une belle tenue et étant célibataires, ils sont sous les ordres directs du Prince dont ils font le service à pied au palais et, en toutes circonstances, ils le protègent nuit et jour. Les gardes du corps ne peuvent prendre épouse qu’a près 8 ans de service et sont automatiquement mutés au grade supérieur soit dans l’infanterie soit dans l’administration du pays.
Les hussards du Prince dits "les bleus" et de la Princesse dit "les blancs" (photo 2 / 3)
Créé en 1687 en regroupant toute la cavalerie dite légère qui lors de la guerre contre la sublime porte était très difficilement contrôlable, les deux régiments agissent de conserve et sont dans la même brigade. Leur témérité est connue de tous, et même les villes ennemies garnies de défense ou de fortification les craignent.
Ils sont composés chacun de 6 escadrons de 100 hommes sachant lire, d’une belle tenue et d’un courage incontestable. Reconnus par 2 parrains, ils doivent être célibataires et ne peuvent prendre épouse qu’a près 10 ans de service. Ils sont alors, à leur demande, s’ils le désirent mutés comme chef de canton aux frontières de la principauté. Ils ont comme colonel le Prince et ses sœurs.
Les grenadiers à pieds (photo 4)
Créé en 1663 sous l’appellation "grenadiers de Bourgogne" ayant servi sous louis XIV Roy de France offert au grand-père du prince actuel par le Roy lui-même.
Ils ont à leur tête un des fils du prince de Condé, Charles Marie Étienne de Condé, Colonel du régiment des grenadiers de Bourgogne. Ce fils restera au Liechtenbourg et aura plusieurs enfants dont le petit-fils actuel Thierry, Louise, Josiane, Marie, Raymond, de Condé Commandant les armées françaises en guerre contre la Prusse et sujet à de fréquentes crises de goutte.
Le régiment de grenadiers est composé de 5 compagnies de 150 hommes. Y sont acceptés les hommes ayant au moins 5 ans de service dans un des régiments dit de ligne, n'ayant eu aucune condamnation et n'ayant commis aucun acte répréhensible au regard de la loi civile ou militaire, sachant lire et écrire et ayant une taille minimum de 5 pieds ½, 178 cm
Les baillons de lignes (photo 5 / 6 / 7)
Les trois bataillons de ligne Princesse Laurence, Princesse Amélie et Prince Nicolas sont chacun composé de 4 compagnies de 150 hommes.Ils constituent le premier pas vers la carrière militaire au sein de l’armée.
Les jeunes gens qui incorporent ces bataillons doivent avoir 18 ans être libre de toutes activités, professionnel, étude, ou ecclésiastique, et avoir au minimum 4 ans d’études primaires et savoir lire.
Tous les sous officiers et officiers viennent du régiment des grenadiers et la discipline est particulièrement sévère. Leur devise est "MES DEVOIR SONT MES DROITS", la phrase type est "apprends et obéi".
Le bataillon corse ou Corsica 8
Le bataillon corse est un des deux bataillons étrangers (les écossais sont en formation commandés par le capitaine Tony Vendredi) dans l’armée du Liechtenbourg. Il est formé des troupes corses du Roy Théodore de Neuhoff, Roy de Corse et père de l’actuelle Princesse épouse du Prince régnant, le bataillon est spécialisé dans la petite guerre en tant que troupe légère de qualité grenadier.
Instruction et formation des personnels de l’armée, de l’administration et de la population
Les principes de la famille régnante ont toujours été d'avis qu’un pays instruit pouvait facilement faire face à toute tentative de subversion, d’où qu’elle vienne, interne ou externe, militaire philosophique ou religieuse, etc. C’est pour cela que l’instruction est gratuite pour les familles qui ne possèdent pas de terres ou de fortune connue.
Trois types d’enseignement existent au Liechtenbourg.
le cycle primaire d’une durée de 4 ans au cours duquel les enfants de 7 ans (âge de raison) doivent rejoindre les écoles de leur village ou ville où ils apprennent à lire, écrire, compter, ainsi que l’histoire naturelle, des notions de géographie et d’histoire
le cycle secondaire 5 ans ou les jeunes gens qui ont terminé le premier cycle rejoignent les collèges où les jeunes sont soumis au régime régime de l’internat. Ils perfectionnement les mathématiques, l’histoire, la géographie, apprennent la tactique, la façon de commander etc.
le cycle supérieur d’une durée de 5 ans auquel participent tous les élèves qui ont réussi les deux cycles précédents et sont formés pour être capables de diriger, de commander et d’agir en bon sujet de la principauté face à toute situation. Leur devise est
DE FACE TOUJOURS (suivre)
Historique militaire des régiments du Liechtenbourg depuis leurs créations
D’abord un petit cours de linguistique, de géographie et d’histoire.
Comme certains on pu le constater, le Liechtenbourg est toujours écrit en français "bourg" et non en allemand "burg" ou en Syldave "brod" car, comme chacun le sait, la famille régnante du Liechtenbourg est d’origine bourguignonne.
C'est vers 1302 que le Baron van Stalle van het Steekenen lez Hombeek,Vicomte du Bois d'Ombrelle Grand Chambellan auprès des ducs de Bourgogne reçoit en dot, de par son mariage d’avec la Duchesse de Lech (Autriche), les terres situées au Nord-Est de l’Autriche, entre la Hongrie, la Galicie, la Pologne et la Silésie.
Le Liechtenbourg a une superficie de 10.543 Km² et une population actuellement de 183.287 habitants
Le nom de la contrée à l’époque 13 em siècle est Lyéchtinbrod qui comme chacun sait veut dire en Syldave "pays ou ville des hommes libres".
Comme la langue Syldave tombait en désuétude le nom fut francisé en Liechtenbourg. Ce nom fût utilisé dès la première assemblée ou diète en 1309 (à suivre) ?
En ce qui concerne l’historique des régiments du Liechtenbourg voici un court résumé fera plaisir à tous ceux qui partagent notre passion.
Commençons par le plus prestigieux les gardes du corps à cheval (Photo 1)
Créé en 1683 (et ayant comme base historique la gendarmerie princière qui fit toutes les guerres de religions, ainsi que la guerre contre la Sublime Porte), il est composé de 6 escadrons de 100 hommes sachant lire et écrire et ayant une taille minimum de 5 pieds soit 1,75 cm.
Ayant une excellente moralité une belle tenue et étant célibataires, ils sont sous les ordres directs du Prince dont ils font le service à pied au palais et, en toutes circonstances, ils le protègent nuit et jour. Les gardes du corps ne peuvent prendre épouse qu’a près 8 ans de service et sont automatiquement mutés au grade supérieur soit dans l’infanterie soit dans l’administration du pays.
Les hussards du Prince dits "les bleus" et de la Princesse dit "les blancs" (photo 2 / 3)
Créé en 1687 en regroupant toute la cavalerie dite légère qui lors de la guerre contre la sublime porte était très difficilement contrôlable, les deux régiments agissent de conserve et sont dans la même brigade. Leur témérité est connue de tous, et même les villes ennemies garnies de défense ou de fortification les craignent.
Ils sont composés chacun de 6 escadrons de 100 hommes sachant lire, d’une belle tenue et d’un courage incontestable. Reconnus par 2 parrains, ils doivent être célibataires et ne peuvent prendre épouse qu’a près 10 ans de service. Ils sont alors, à leur demande, s’ils le désirent mutés comme chef de canton aux frontières de la principauté. Ils ont comme colonel le Prince et ses sœurs.
Les grenadiers à pieds (photo 4)
Créé en 1663 sous l’appellation "grenadiers de Bourgogne" ayant servi sous louis XIV Roy de France offert au grand-père du prince actuel par le Roy lui-même.
Ils ont à leur tête un des fils du prince de Condé, Charles Marie Étienne de Condé, Colonel du régiment des grenadiers de Bourgogne. Ce fils restera au Liechtenbourg et aura plusieurs enfants dont le petit-fils actuel Thierry, Louise, Josiane, Marie, Raymond, de Condé Commandant les armées françaises en guerre contre la Prusse et sujet à de fréquentes crises de goutte.
Le régiment de grenadiers est composé de 5 compagnies de 150 hommes. Y sont acceptés les hommes ayant au moins 5 ans de service dans un des régiments dit de ligne, n'ayant eu aucune condamnation et n'ayant commis aucun acte répréhensible au regard de la loi civile ou militaire, sachant lire et écrire et ayant une taille minimum de 5 pieds ½, 178 cm
Les baillons de lignes (photo 5 / 6 / 7)
Les trois bataillons de ligne Princesse Laurence, Princesse Amélie et Prince Nicolas sont chacun composé de 4 compagnies de 150 hommes.Ils constituent le premier pas vers la carrière militaire au sein de l’armée.
Les jeunes gens qui incorporent ces bataillons doivent avoir 18 ans être libre de toutes activités, professionnel, étude, ou ecclésiastique, et avoir au minimum 4 ans d’études primaires et savoir lire.
Tous les sous officiers et officiers viennent du régiment des grenadiers et la discipline est particulièrement sévère. Leur devise est "MES DEVOIR SONT MES DROITS", la phrase type est "apprends et obéi".
Le bataillon corse ou Corsica 8
Le bataillon corse est un des deux bataillons étrangers (les écossais sont en formation commandés par le capitaine Tony Vendredi) dans l’armée du Liechtenbourg. Il est formé des troupes corses du Roy Théodore de Neuhoff, Roy de Corse et père de l’actuelle Princesse épouse du Prince régnant, le bataillon est spécialisé dans la petite guerre en tant que troupe légère de qualité grenadier.
Instruction et formation des personnels de l’armée, de l’administration et de la population
Les principes de la famille régnante ont toujours été d'avis qu’un pays instruit pouvait facilement faire face à toute tentative de subversion, d’où qu’elle vienne, interne ou externe, militaire philosophique ou religieuse, etc. C’est pour cela que l’instruction est gratuite pour les familles qui ne possèdent pas de terres ou de fortune connue.
Trois types d’enseignement existent au Liechtenbourg.
le cycle primaire d’une durée de 4 ans au cours duquel les enfants de 7 ans (âge de raison) doivent rejoindre les écoles de leur village ou ville où ils apprennent à lire, écrire, compter, ainsi que l’histoire naturelle, des notions de géographie et d’histoire
le cycle secondaire 5 ans ou les jeunes gens qui ont terminé le premier cycle rejoignent les collèges où les jeunes sont soumis au régime régime de l’internat. Ils perfectionnement les mathématiques, l’histoire, la géographie, apprennent la tactique, la façon de commander etc.
le cycle supérieur d’une durée de 5 ans auquel participent tous les élèves qui ont réussi les deux cycles précédents et sont formés pour être capables de diriger, de commander et d’agir en bon sujet de la principauté face à toute situation. Leur devise est
DE FACE TOUJOURS (suivre)
lundi 7 avril 2008
Bulletin de victoire N°3
Vendredi 3 avril 1756
Du quartier général de l ‘armée impériale autrichienne en Lusace
Bulletin n°3
Majesté
Suite à la deuxième bataille de Pirna et à la demande du Maréchal de Liechtenbourg de faire intervenir au plus vite l’armée impériale sous les ordres du Maréchal Daun, nous avons l’extrême plaisir d’informer sa Majesté Impératrice Reine que le sort des armes nous fut très favorable.
L’armée du prince Henry, frère du Roy de Prusse s’est retrouvée vers midi en colonnes de marche face à l’armée impériale rangée en bataille, ceci grâce aux reconnaissances des unités légères d’avant garde commandées par Monsieur de Lacy, qui a prévenu à temps le gros de l’armée.photo37
L’armée impériale commandée par le général major André Daniel von Belle comte de Senne photo 32 a pu, avec talent, déjouer toute les manœuvres de l’ennemi pour déborder son flanc gauche et ceci malgré une cavalerie très nombreuse Photo 33
Comme à leur habitude, les troupes du Liechtenbourg se sont battues avec vaillance. Nous citeront pour l’exemple les gardes du corps Photo 44 ainsi que les jagers et les batteries d’artillerie de 12 £b Photo 54
Photos 52
L’ennemi tenta de déborder le flanc gauche de l’armée impériale, puis d’enfoncer le centre Photo 41 et enfin tenta une manœuvre sur le flanc droit Photo 52
La bataille fut terminée vers 17h, et l’armée du prince Henry déroutant fut poursuivie par nos troupes légères.
Nos pertes furent légères 950 morts, 2000 blessés, 250 prisonniers, 1750 disparus.
L’ennemi eut 1650 tués, 2500 blessés, 1500 prisonniers, ainsi que 12 pièces d’artillerie de 6 £b.
Nous remercions Dieu et l’Impératrice Reine pour la victoire de ce jour glorieux ainsi que le Général major comte de Senne André Daniel von Belle
Chevalier de Frasne secrétaire auprès du Maréchal
photo 37
Du quartier général de l ‘armée impériale autrichienne en Lusace
Bulletin n°3
Majesté
Suite à la deuxième bataille de Pirna et à la demande du Maréchal de Liechtenbourg de faire intervenir au plus vite l’armée impériale sous les ordres du Maréchal Daun, nous avons l’extrême plaisir d’informer sa Majesté Impératrice Reine que le sort des armes nous fut très favorable.
L’armée du prince Henry, frère du Roy de Prusse s’est retrouvée vers midi en colonnes de marche face à l’armée impériale rangée en bataille, ceci grâce aux reconnaissances des unités légères d’avant garde commandées par Monsieur de Lacy, qui a prévenu à temps le gros de l’armée.photo37
L’armée impériale commandée par le général major André Daniel von Belle comte de Senne photo 32 a pu, avec talent, déjouer toute les manœuvres de l’ennemi pour déborder son flanc gauche et ceci malgré une cavalerie très nombreuse Photo 33
Comme à leur habitude, les troupes du Liechtenbourg se sont battues avec vaillance. Nous citeront pour l’exemple les gardes du corps Photo 44 ainsi que les jagers et les batteries d’artillerie de 12 £b Photo 54
Photos 52
L’ennemi tenta de déborder le flanc gauche de l’armée impériale, puis d’enfoncer le centre Photo 41 et enfin tenta une manœuvre sur le flanc droit Photo 52
La bataille fut terminée vers 17h, et l’armée du prince Henry déroutant fut poursuivie par nos troupes légères.
Nos pertes furent légères 950 morts, 2000 blessés, 250 prisonniers, 1750 disparus.
L’ennemi eut 1650 tués, 2500 blessés, 1500 prisonniers, ainsi que 12 pièces d’artillerie de 6 £b.
Nous remercions Dieu et l’Impératrice Reine pour la victoire de ce jour glorieux ainsi que le Général major comte de Senne André Daniel von Belle
Chevalier de Frasne secrétaire auprès du Maréchal
photo 37
photo 32
photo 33
photo 44
photo 54
photo 52
photo 41
photo 52
photo 52
jeudi 20 mars 2008
Ordre Oblique - Oblique Order
Tactiquement, la principale innovation de Frédéric II fut l’introduction, dans les principes de combat, de l’ordre oblique, technique mise au point, au Ivème siècle avant Jésus Christ, par Epaminodas. L’ordre oblique revient à concentrer ses forces sur un point du dispositif ennemi et a refuser l’engagement, du reste de ses forces, face à l’ennemi. Ainsi, on renforce une partie de son dispositif en vue d’une possible rupture chez l’ennemi tout en paralysant une partie de ses forces par le refus de tout engagement.
Cette tactique, Frédéric II l’employa lors de la bataille de Leuthen en 1757. Cette tactique permettait de pallier au carences de «l’ordre mince». En effet, au XVIIIème siècle, les armées sont disposées sur 3 ou 4 rangs afin d’exploiter au mieux la puissance de feu des armements modernes. Il s’en suit un étirement des forces qui empêche toute offensive d’envergure. L’ordre oblique permettait donc de bénéficier des avantages de la puissance de feu tout en créant les conditions propices à une engagement massif et de rupture
The oblique order (or declined or refused flank) is a military tactic where an attacking army focuses its forces to attack a single enemy flank. The force commander concentrates the majority of his strength on one flank and uses the remainder to fix the enemy line. This allowed a commander with weaker or equal forces to achieve a local superiority in numbers. The commander can then try to defeat the enemy in detail. It was the most famously used by the armies of Frederick II of Prussia. Oblique order required disciplined troops able to execute complex maneuvers in varied circumstances.
Cette tactique, Frédéric II l’employa lors de la bataille de Leuthen en 1757. Cette tactique permettait de pallier au carences de «l’ordre mince». En effet, au XVIIIème siècle, les armées sont disposées sur 3 ou 4 rangs afin d’exploiter au mieux la puissance de feu des armements modernes. Il s’en suit un étirement des forces qui empêche toute offensive d’envergure. L’ordre oblique permettait donc de bénéficier des avantages de la puissance de feu tout en créant les conditions propices à une engagement massif et de rupture
The oblique order (or declined or refused flank) is a military tactic where an attacking army focuses its forces to attack a single enemy flank. The force commander concentrates the majority of his strength on one flank and uses the remainder to fix the enemy line. This allowed a commander with weaker or equal forces to achieve a local superiority in numbers. The commander can then try to defeat the enemy in detail. It was the most famously used by the armies of Frederick II of Prussia. Oblique order required disciplined troops able to execute complex maneuvers in varied circumstances.
In the oblique order attack, commander of the army would intentionally weaken one portion of the line to concentrate their troops elsewhere. They would then create an angled or oblique formation, refuse the weakened flank and attack the strongest flank of the enemy with a concentration of force. Once the critical flank was secure, the commander would wheel their troops 90 degrees to roll up the enemy line and the angled formation would continue to advance. On occasion both commanders would attempt the same tactic (e.g.the Diadochi trying to replicate Alexander's tactics).
samedi 15 mars 2008
2em bataille de Pirna
14 mars 1756
du quartier général des armées autrichiennes en Saxe
Monsieur
Nous avons le devoir d’annoncer à la cour de sa Majesté Impératrice et Reine d' Autriche Hongrie, que nos forces ont succombé aux assauts de l’armée Prussienne.
En effet l’ennemi s’est présenté hier vers 6h45 du matin au devant de notre camp retranché de Pirna. Le roi de Prusse ayant appris la leçon du combat de la semaine passée et s’étant renforcé avec vigueur, a lancé ses troupes dans un assaut frontal. Nos troupes ont résisté pendant 11 heures de combat incessant, mais la ligne de front a cédé face à une double charge de cuirassier prussien et par manque de munitions, le 2ème bataillon du prince de Wildenstein a cédé sous la pression de la charge et a été mis en déroute avec violence.
Les grenadiers de Hesse D’armsdadt ont été interpénétrés par le bataillon de Monsieur le Prince de Hesse, et, étant mis en désordre ils ont tenté de faire face et de combattre les cuirassiers, mais rien n’y fit, ils furent également mis en déroute malgré la présence en leurs rangs du maréchal de Liechtenbourg.
Le Maréchal jugeant, avec la sagesse qu’on lui accorde en haut lieu, a décidé de quitter le champ de bataille avec son armée et ainsi le camp retranché.
Nos pertes furent sévères.
En artillerie : 8 pièces de 24£, 4 pièces de 12£, et 4 pièces de 6£.
En infanterie : 2 drapeaux , 1575 morts, 700 blessés et 800 prisonniers.
L’ennemi a perdu 900 morts, 1200 blessés et 600 disparus.
Il ne déplore la perte d’aucun canons ni drapeaux .
Monsieur le Maréchal demande expressément a l’Impératrice Reine de faire avancer au plus vite l’armée autrichienne sous le commandement du maréchal Daun.
Chevalier de Frasnes
secrétaire auprès du maréchal
PS Nous apprenons que Le Prince de Condé se rétabli dans une auberge auprès d’une douce amie prénommée Lison.
Longue vie au Prince, au Roy Louis XV, ainsi qu’a ses sujets.
du quartier général des armées autrichiennes en Saxe
Monsieur
Nous avons le devoir d’annoncer à la cour de sa Majesté Impératrice et Reine d' Autriche Hongrie, que nos forces ont succombé aux assauts de l’armée Prussienne.
En effet l’ennemi s’est présenté hier vers 6h45 du matin au devant de notre camp retranché de Pirna. Le roi de Prusse ayant appris la leçon du combat de la semaine passée et s’étant renforcé avec vigueur, a lancé ses troupes dans un assaut frontal. Nos troupes ont résisté pendant 11 heures de combat incessant, mais la ligne de front a cédé face à une double charge de cuirassier prussien et par manque de munitions, le 2ème bataillon du prince de Wildenstein a cédé sous la pression de la charge et a été mis en déroute avec violence.
Les grenadiers de Hesse D’armsdadt ont été interpénétrés par le bataillon de Monsieur le Prince de Hesse, et, étant mis en désordre ils ont tenté de faire face et de combattre les cuirassiers, mais rien n’y fit, ils furent également mis en déroute malgré la présence en leurs rangs du maréchal de Liechtenbourg.
Le Maréchal jugeant, avec la sagesse qu’on lui accorde en haut lieu, a décidé de quitter le champ de bataille avec son armée et ainsi le camp retranché.
Nos pertes furent sévères.
En artillerie : 8 pièces de 24£, 4 pièces de 12£, et 4 pièces de 6£.
En infanterie : 2 drapeaux , 1575 morts, 700 blessés et 800 prisonniers.
L’ennemi a perdu 900 morts, 1200 blessés et 600 disparus.
Il ne déplore la perte d’aucun canons ni drapeaux .
Monsieur le Maréchal demande expressément a l’Impératrice Reine de faire avancer au plus vite l’armée autrichienne sous le commandement du maréchal Daun.
Chevalier de Frasnes
secrétaire auprès du maréchal
PS Nous apprenons que Le Prince de Condé se rétabli dans une auberge auprès d’une douce amie prénommée Lison.
Longue vie au Prince, au Roy Louis XV, ainsi qu’a ses sujets.
Inscription à :
Articles (Atom)